Scott Derrickson dévoile ce qu’il refuse de faire pour le tournage de Black Phone 3

Scott Derrickson brise le silence… et les codes du film d’horreur ! Alors que le cinéma tremble encore du succès fracassant de Black Phone 2, le réalisateur et scénariste dévoile, non sans panache, ce qu’il ne fera JAMAIS pour le tournage de Black Phone 3. Amateurs d’épouvante, préparez-vous : ici, pas de recettes cheap ni de retournements de situations absurdes façon slasher de série Z. Entre exigences créatives, hommage aux plus grands, et volonté de réinventer la production hollywoodienne, Derrickson place la barre aussi haut qu’une épée légendaire dans un donjon rétro ! Découvrez comment le maître de l’angoisse veut préserver l’âme noire de sa saga sans la diluer façon pop-corn pour multiplexe. Vous pensiez avoir tout vu au cinéma ? Attendez un peu…

Certains réalisateurs sont des builder monomaniaques, d’autres préfèrent la dynamite : Derrickson, lui, jongle avec les codes du film d’horreur comme un magicien IT avec ses lignes de code, pour sortir le public de sa zone de confort. Quand Hollywood réclame un 3e round avec le terrible Grabber, le créateur refuse catégoriquement de “refaire la même chose en changeant juste trois détails”. Sa vision intransigeante rappelle celle d’un gamer refusant le reboot paresseux d’une licence culte ! 🎬

Scott Derrickson et Black Phone 3 : les règles sacrées du tournage

Dans les coulisses de la production hollywoodienne, le réalisateur Scott Derrickson joue à l’antithèse du yes man. Après le raz-de-marée de Black Phone 2, on aurait pu penser que la tentation de capitaliser serait forte. Mais pour ce créatif pur sang (aussi féru de comics qu’un collectionneur de figurines Matrix 🔥), une suite ne se justifie que si elle défie vraiment le précédent opus :

• 🚫 Aucune redondance : pas question de copier-coller le passé, même grimé sous un masque différent !
• 🧩 Pas de “nouvelle règle bidon” : Derrickson refuse d’ajouter des lois surnaturelles à la va-vite façon patch de dernière minute dans un jeu mal optimisé.
• 🎯 Objectif dépassement : pour lui, une suite ne doit exister que si elle surpasse l’original, à la manière d’une évolution d’Eevee bien préparée !

Ce positionnement ferme évoque la démarche d’un Sam Raimi sur Evil Dead ou celle de George Romero sur ses sagas zombiesques. Seule une montée en puissance créative justifie de rallumer les caméras.

Les limites de la créativité chez le réalisateur moderne

À une époque où la créativité est trop souvent sacrifiée sur l’autel de la rentabilité, Derrickson fait figure de Jedi rebelle ! Pour le tournage de Black Phone 3, refuser l’accumulation de règles bidon, c’est garantir au film d’horreur une authenticité rare :

• ⚔️ Respect du spectateur : il ne prend pas le public geek pour des moldus incapables de saisir la subtilité d’un scénario bien construit !
• 🕹️ Combattre l’usure narrative : comme dans une partie de Fortnite, il renouvelle la dynamique pour garder l’attention des fans.
• 💡 Petite communauté, grandes attentes : l’univers geek n’est jamais avare en critiques acérées, et Derrickson préfère jouer dans la cour des grands plutôt que de sombrer dans la facilité.

Son exemple rappelle qu’à Hollywood, seuls les créateurs capables de préserver leur ADN triomphent sur la durée…

Écrire pour la peur : le point de vue du scénariste Scott Derrickson

Black Phone 3 ne doit pas devenir le “Friday the 13th” du pauvre où chaque suite invente un pouvoir inutile à son tueur – à quand le Grabber lançant des boules de feu ? Pour Derrickson, écrire la suite implique :

• ✍️ Enrichir le background sans dénaturer : approfondir la psyché du Grabber sans faire de surenchère
• 🤯 Éviter les twists gratuits : à l’image d’un bon niveau à la Zelda, chaque nouvelle règle doit récompenser l’exploration, pas tomber comme un cheveux sur la soupe.
• 🦸 Hommage à la grande époque : il cite Evil Dead et Romero en référence, promettant une montée en puissance à chaque film.

Cette éthique du scénario rappelle celle des meilleurs jeux narratifs, où chaque choix, chaque détail a une vraie importance pour l’expérience du joueur… ou ici, du spectateur.

Prouver sa valeur à Hollywood : plus de maîtrise, moins de surenchère

Pas question de s’égarer dans la surenchère ou la répétition. Derrière la caméra, le défi de Derrickson relève autant du Rubik’s Cube scénaristique que de la maîtrise cinématographique. Il démontre qu’Hollywood peut encore surprendre quand un créateur tient fermement le joystick de sa franchise :

• 🎬 Reposer chaque nouvelle idée sur une intention forte
• 🎲 Savoir dire non à la tentation, même quand le box-office appelle à la facilité
• 🚀 Mettre la créativité avant l’usure des franchises… pour viser le Hall of Fame du cinéma d’horreur !

Bref, comme vous pouvez le constater, le secret n’est pas de faire, mais de mieux faire — un mantra aussi valable pour le monde du codage que pour la réalisation d’un bon film d’horreur.

Plongez dans l’univers du Fantastic Fest ou explorez les retours sur Black Phone 2 pour constater à quel point cette méthode fait vibrer la communauté.

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Pourquoi Scott Derrickson refuse-t-il d’ajouter de nouvelles règles au Grabber ?

Le réalisateur souhaite préserver une cohérence narrative et éviter la surenchère scénaristique inutile, garantissant ainsi une expérience authentique pour les fans du cinéma d’horreur.

Quelles sont les franchises citées en exemple par Derrickson ?

Il évoque particulièrement Evil Dead de Sam Raimi et la trilogie des zombies de George Romero, deux sagas connues pour leur montée en puissance qualitative et le respect de la vision initiale.

Quelle est la différence entre enrichir le fond et ‘changer les règles’ dans une saga ?

Enrichir le fond revient à creuser l’histoire ou la psychologie des personnages, tandis que ‘changer les règles’ revient à ajouter des capacités ou des récits sortis de nulle part, ce qui peut décevoir les fans.

Où retrouver plus d’analyses sur la saga Black Phone ?

Découvrez de nombreux articles et dossiers sur Geekorama, comme la réponse de Derrickson aux ténèbres ou le lien caché entre Black Phone et l’anthologie V/H/S.

Comment Scott Derrickson se positionne-t-il face à la pression hollywoodienne ?

Il n’hésite pas à affirmer son indépendance créative, privilégiant la qualité à la simple répétition commerciale, une démarche saluée par la communauté geek et cinéphile.