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    La maison»Cybersécurité»qu’est-ce que la gestion continue de l’exposition aux menaces (ctem) ?
    découvrez le continuous threat exposure management, une approche innovante pour identifier, analyser et gérer en continu les vulnérabilités et les risques de sécurité dans votre entreprise afin d’optimiser votre cyberprotection.
    Cybersécurité

    qu’est-ce que la gestion continue de l’exposition aux menaces (ctem) ?

    Nadine SonyPar Nadine Sony5 octobre 2025Aucun commentaire14 Minutes de Lecture

    À l’heure où les cyberattaques se sophistiquent et s’intensifient, la gestion continue de l’exposition aux menaces, ou CTEM (Continuous Threat Exposure Management), s’impose comme une nouvelle stratégie phare de cybersécurité. Popularisée depuis 2022 par des acteurs majeurs comme Gartner, cette approche proactive transforme la manière dont les entreprises évaluent leurs vulnérabilités et anticipent les risques. Plutôt que de se contenter d’audits ponctuels, la CTEM propose une surveillance et une évaluation constantes de la surface d’attaque, impliquant l’ensemble des parties prenantes opérationnelles et stratégiques. Pour les professionnels de la cybersécurité et les experts IT, adopter cette démarche, désormais soutenue par des leaders de la sécurité comme Darktrace, Thales ou Orange Cyberdefense, revient à se doter d’une vision dynamique et réaliste des menaces qui pèsent sur leur environnement numérique. Au fil de cinq étapes intégrées, la CTEM permet d’identifier, valider, hiérarchiser et atténuer efficacement les risques, en simulant notamment les comportements des cyberattaquants réels. Dans ce dossier, nous explorerons en profondeur le mécanisme et la valeur ajoutée de la CTEM dans un paysage cyber toujours plus complexe, en appuyant notre analyse avec les exemples concrets des solutions et acteurs du secteur.

    Table des matières

    • 1 Les fondements techniques de la gestion continue de l’exposition aux menaces (CTEM)
      • 1.1 La différence entre CTEM et les approches classiques TEM ou pentesting
    • 2 Définir clairement les périmètres de surveillance en gestion continue des menaces
      • 2.1 Questions clés à se poser avant de définir son périmètre CTEM
    • 3 Inventaire et évaluation des risques : la découverte permanente des menaces
    • 4 Priorisation efficace des risques et menaces pour une CTEM performante
    • 5 Validation pratique des risques et simulations d’attaques ciblées
    • 6 Organisation coordonnée pour la mobilisation des équipes et la remédiation rapide
    • 7 Le futur de la gestion continue de l’exposition aux menaces : innovations et défis à venir
    • 8 Les erreurs classiques à éviter dans la mise en place d’une gestion continue de l’exposition aux menaces
    • 9 Comment intégrer la CTEM dans une stratégie globale de cybersécurité ?
    • 10 FAQ sur la gestion continue de l’exposition aux menaces (CTEM)

    Les fondements techniques de la gestion continue de l’exposition aux menaces (CTEM)

    La CTEM ne se limite pas à un simple scan périodique de vulnérabilités. Il s’agit d’un cadre intégré, technique et méthodique, visant une surveillance permanente de la surface d’attaque pour détecter et comprendre en temps réel où résident les failles exploitables. Contrairement aux méthodes traditionnelles, qui analysent les vulnérabilités de façon isolée, la CTEM privilégie une approche holistique qui inclut :

    • 🛡️ Cartographie dynamique des actifs : identification continue des réseaux, équipements, applications, identités et services exposés.
    • 🕵️‍♂️ Simulations d’attaques réalistes : reproduction du comportement des hackers, via des scénarios d’attaques automatisés, pour tester les failles exploitables.
    • 🔄 Évaluation cyclique et automatisée des risques : suivi en temps réel des menaces, avec réadaptation des priorités selon le contexte métier et technique.
    • ⚙️ Orchestration des actions de remédiation : coordination des équipes IT et cybersécurité dans le déploiement rapide des correctifs et protections.
    • 📊 Reporting et tableaux de bord évolutifs : analyse visuelle et synthétique pour un pilotage stratégique éclairé, notamment sur les surfaces d’attaque critiques.

    Pour atteindre ces objectifs, de nombreuses entreprises s’appuient sur des plateformes basées sur l’IA et le machine learning. Par exemple, Darktrace intègre des algorithmes avancés pour analyser les comportements anormaux et anticiper les intrusions potentielles. D’autres acteurs comme Sekoia ou Exodata développent des solutions spécialisées dans la gestion centralisée des données de sécurité, facilitant l’identification rapide des vulnérabilités. Cette orchestration technologique assure une réduction notable des fenêtres d’exposition et une meilleure préparation face aux attaques ciblées.

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    Étape CTEM 🔒 Description Technique 🖥️ Exemple industriel 💼
    Délimitation des surfaces d’attaque (Scoping) Définir précisément quels actifs sont inclus dans la démarche en fonction des risques métiers. Airbus CyberSecurity évalue continuellement ses périmètres digitaux critiques liés aux systèmes aéronautiques.
    Découverte des actifs et vulnérabilités (Discovery) Inventaire automatisé des équipements, logiciels, accès et failles. ITrust recense les risques spécifiques à ses infrastructures cloud et Kubernetes.
    Priorisation des menaces (Prioritization) Hiérarchisation des risques selon leur impact et exploitabilité réelle. Orange Cyberdefense classe ses vulnérabilités selon la criticité business.
    Validation des scénarios d’attaque (Validation) Simulation des vecteurs d’intrusion et vérification de l’efficacité des protections. Gatewatcher teste ses défenses face aux ransomwares via attaques simulées.
    Mobilisation des équipes (Mobilization) Coordination des réponses, communication et planification des mesures correctives. TEHTRIS déploie un playbook intégré pour assurer la réactivité des équipes SOC.

    La différence entre CTEM et les approches classiques TEM ou pentesting

    Si la Gestion de l’Exposition aux Menaces (TEM) a marqué une évolution en évaluant régulièrement la sécurité, elle manque souvent de continuité et d’actualisation. Le pentesting, quant à lui, reste une méthode ponctuelle et limitée dans le temps. La CTEM innove par :

    • ⏳ Un processus permanent qui évolue avec l’environnement.
    • 🧩 Une vision holistique de l’exposition à travers toutes les couches technologiques et humaines.
    • 🎯 Une focalisation sur les risques réellement exploitables et non uniquement sur les vulnérabilités théoriques.

    C’est cette approche qui fait de la CTEM une solution particulièrement adaptée aux enjeux actuels, notamment pour des structures complexes ou critiques comme Sopra Steria ou Thales.

    Définir clairement les périmètres de surveillance en gestion continue des menaces

    La phase de délimitation du périmètre (Scoping) est cruciale pour garantir que les efforts de CTEM ciblent ce qui apporte une réelle valeur sécuritaire. Ce premier pas ne consiste pas à intégrer tous les éléments techniques possibles, mais à prioriser selon les enjeux métier et la criticité des actifs. Par exemple, une entreprise industrielle comme Airbus CyberSecurity concentrera ses ressources sur les systèmes ayant un impact potentiel majeur sur la sécurité aéronautique, tandis qu’une FinTech privilégiera la protection des données clients et systèmes bancaires.

    Cette étape mobilise en effet des parties prenantes différentes : direction générale, responsables IT, sécurité des systèmes d’information (SSI) et responsables métiers. Une concertation régulière permet d’ajuster le périmètre au fil du temps, notamment en intégrant les nouveaux services, partenaires ou technologies. La cartographie initiale doit donc être :

    • 🔍 Exhaustive mais ciblée, pour ne pas disperser inutilement les ressources.
    • 📈 Adaptable en fonction des évolutions technologiques et structurelles.
    • 💬 Validée par toutes les parties prenantes, pour garantir un alignement stratégique.

    On trouve fréquemment dans cette phase la catégorisation des actifs :

    • 💻 Infrastructures réseau et cloud
    • 📦 Applications et plates-formes
    • 🔑 Identités et accès utilisateurs
    • 📁 Données sensibles et propriété intellectuelle
    • 🔄 Flux inter-systèmes et connexions tierces

    C’est aussi ici qu’entrent en jeu les exigences réglementaires, notamment pour des secteurs sous forte réglementation comme la défense ou la finance. Par exemple, les cadres rigoureux du FISMA, analysés récemment sur Geekorama, fournissent des lignes directrices essentielles pour délimiter ces périmètres de manière sécurisée. Lire notre dossier sur le FISMA.

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    Critère de périmètre 📌 Description Exemple de secteurs
    Impact métier Identification des actifs dont la compromission aurait un effet critique. Aéronautique, Energie, Banque
    Exposition technique Evaluation des vecteurs d’attaque accessibles depuis l’extérieur ou l’intérieur. Cloud public, IoT, VPN
    Réglementation Prise en compte des contraintes légales et normatives sur les données. Finance, Santé, Défense
    Changement et évolution Adaptabilité du périmètre au contexte organisationnel et technologique. ESN, Start-up, Industrie

    Questions clés à se poser avant de définir son périmètre CTEM

    • 🤔 Quels sont les systèmes les plus critiques pour l’activité ?
    • 🔒 Quelle est la surface d’attaque visible de l’extérieur ?
    • 🕵️ Qui sont les utilisateurs et quels niveaux d’accès possèdent-ils ?
    • ⚠️ Quels sont les risques réglementaires en jeu ?
    • 🔄 Comment le périmètre peut-il évoluer dans les 6 à 12 prochains mois ?

    Inventaire et évaluation des risques : la découverte permanente des menaces

    Après avoir arrêté le périmètre, vient la phase de découverte continue des actifs et vulnérabilités, un élément central de la CTEM. Il s’agit de dresser un inventaire automatisé et mis à jour des équipements physiques, logiciels, usages, ainsi que des failles associées. Par exemple, la division cloud native d’ITrust excelle dans l’analyse des risques liés aux environnements Kubernetes et à la posture cloud, domaines où les erreurs de configuration sont un vecteur majeur d’intrusion.

    Cette étape comprend plusieurs activités clés :

    • 🖥️Scan automatisé des hôtes et applications pour détecter vulnérabilités et malconfigurations.
    • ☁️ Évaluation de la posture cloud avec une attention particulière aux accès, permissions et configurations publiques.
    • 🔄 Détection des chemins d’attaque (attack paths) qui pourraient relier plusieurs failles pour aboutir à une compromission importante.
    • 👥 Audit des identités et droits utilisateurs pour limiter les risques d’abus d’accès.

    L’objectif est de générer un catalogue exploitable répertoriant :

    • 📋 Tous les actifs du périmètre validé
    • ⚠️ Chaque vulnérabilité détectée avec un score de criticité attaché

    Pour renforcer la vigilance, des sociétés spécialisées comme Sopra Steria proposent des services de threat intelligence, fournissant des données en quasi temps réel sur les nouvelles menaces identifiées dans l’écosystème cyber. Exodata et Gatewatcher s’appuient quant à eux sur des systèmes d’intelligence artificielle pour optimiser la détection des anomalies complexes, augmentant la performance des analyses en continu.

    Types d’actifs découverts 🖥️ Risques associés ⚠️ Exemple de solution spécialisée
    Infrastructure réseau Ouvertures non surveillées, accès non autorisés Darktrace détecte les comportements anormaux sur le réseau
    Environnements cloud et Kubernetes Configuration erronée, exposition non intentionnelle ITrust analyse la posture cloud et Kubernetes
    Identités et accès utilisateurs Escalade de privilèges, accès suspects Gatewatcher surveille l’activité des comptes à risques

    Priorisation efficace des risques et menaces pour une CTEM performante

    Dans la gestion continue de l’exposition aux menaces, il ne suffit pas d’identifier toutes les vulnérabilités. Il faut surtout hiérarchiser celles qui représentent un danger réel et urgent, afin de mobiliser efficacement les équipes. Cette priorisation repose sur plusieurs critères :

    • 🎯 Impact potentiel sur le business : quelles pertes opérationnelles ou financières sont envisageables ?
    • 🔥 Facilité d’exploitation : le chemin d’attaque est-il accessible à un hacker ?
    • 🛠️ Existence de contrôles en place : la vulnérabilité est-elle déjà atténuée par des protections ?
    • 🕰️ Temporalité : certaines failles peuvent devenir plus dangereuses avec le temps, notamment si elles sont mal corrigées.

    Par exemple, Orange Cyberdefense met en œuvre une stratégie de scoring des risques intégrant des données de menace en temps réel. Cette approche permet d’adapter continuellement les politiques de sécurité à la réalité la plus récente, tout en optimisant la charge de travail des équipes SOC.

    Pour mieux visualiser cette logique, voici un schéma simplifié :

    Critère de priorisation 🎯 Exemple concret Conséquence pour la CTEM
    Urgence Une vulnérabilité zero-day exploitée par un ransomware actif Intervention immédiate & déploiement de contre-mesures
    Exploitation potentielle Failles dans une API exposée au public Priorisation haute car point d’entrée facile
    Impact métier Compromission des données clients sensibles Haute priorité, risque de réputation et conformité

    Validation pratique des risques et simulations d’attaques ciblées

    Une fois les menaces prioritaires identifiées, la CTEM exige une validation concrète des scénarios d’attaque. Cette phase, souvent délaissée dans les approches classiques, s’appuie sur des tests en conditions réelles et des simulations automatisées pour vérifier :

    • 🔍 Comment une faille peut être exploitée étape par étape
    • ⚠️ Quel serait le coût réel d’une compromission
    • 🛡️ Si les mécanismes de défense déployés permettent de bloquer l’intrusion
    • 🔁 Quels plans de réponse et de remédiation doivent être activés

    Des leaders du secteur tels que Sopra Steria ou TEHTRIS proposent des services de “red team” virtuelles combinées à des outils d’auto-évaluation dynamique, représentant ainsi un retour d’expérience indispensable pour renforcer la sécurité opérationnelle.

    Par exemple, dans un cas concret, un acteur industriel a découvert lors d’une simulation que sa segmentation réseau insuffisante offrait une voie rapide pour un ransomware. Après identification, les équipes ont conçu un plan rapide pour isoler les postes critiques et limiter la propagation.

    Objectifs de la validation ✔️ Méthodes utilisées Exemples de bénéfices pour l’entreprise
    Identification des vecteurs d’attaque Simulation red team, tests de pénétration automatisés Découverte des failles cachées avant exploitation réelle
    Évaluation de l’impact potentiel Modélisation des scénarios d’attaque Anticipation des conséquences financier et réputationnel
    Test des protections installées Outils SIEM, SOC et détection d’anomalies Validation de l’efficacité des mesures en place

    Organisation coordonnée pour la mobilisation des équipes et la remédiation rapide

    La dernière étape de la CTEM ne se limite pas à un rapport ou une alerte : c’est la mobilisation effective des équipes internes et partenaires extérieurs qui détermine la réussite de l’approche. Cette coordination suppose :

    • 🤝 Communication transparente entre responsables IT, sécurité, métiers et directions.
    • 📅 Élaboration de playbooks intégrant étapes de remédiation et responsabilités.
    • ⏱️ Suivi rigoureux des délais et impact des correctifs appliqués.
    • 🌐 Collaboration avec partenaires experts comme TEHTRIS ou Thales pour les incidents complexes.

    Une entreprise ayant adopté ce modèle a noté une réduction de plus de 30% de son temps moyen de réaction aux incidents grâce à ces méthodes collaboratives, facilitant ainsi une montée en puissance continue de sa posture de sécurité. Sopra Steria accompagne régulièrement ses clients dans la mise en place de ces processus intégrés afin d’optimiser les retours sur investissements en cybersécurité.

    Le futur de la gestion continue de l’exposition aux menaces : innovations et défis à venir

    Alors que la cybercriminalité ne cesse d’évoluer, la CTEM est en pleine mutation pour s’adapter aux défis 2025 et au-delà. Les principaux axes d’innovation rencontrés dans les laboratoires de recherche concernés incluent :

    • 🤖 L’intégration accrue de l’IA et du machine learning pour anticiper et simuler des attaques encore plus sophistiquées.
    • 🌍 L’extension de la CTEM aux environnements IoT et aux infrastructures critiques, demandant une granularité de détection accrue.
    • 🔗 La standardisation et le partage d’intelligence cyber entre acteurs publics et privés pour réduire les fenêtres d’exposition.
    • 🛡️ Le renforcement des processus d’automatisation dans la mobilisation, réduisant les délais humains et erreurs de communication.

    Des acteurs tels que Thales et Airbus CyberSecurity investissent massivement dans ces domaines, transformant leurs offres pour intégrer des fonctionnalités intelligentes distribuées et temps réel. C’est aussi un défi en termes de gouvernance et d’éthique, notamment face à l’usage des données sensibles pour les entraînements d’IA.

    Le modèle CTEM s’annonce donc comme un levier stratégique incontournable pour les entreprises souhaitant se protéger efficacement dans un paysage digital toujours plus hostile et mouvant.

    Les erreurs classiques à éviter dans la mise en place d’une gestion continue de l’exposition aux menaces

    Mettre en œuvre une CTEM efficace peut s’avérer complexe. Les pièges les plus fréquents ralentissent la montée en maturité ou compromettent la pertinence d’un programme complet :

    • 🚩 Ignorer la dimension organisationnelle : ne pas impliquer toutes les équipes clés génère un silo peu réactif.
    • 🚧 Se concentrer uniquement sur la technologie au détriment des processus humains, source fréquente d’erreurs.
    • ⏰ Attendre trop longtemps entre les cycles d’analyse : la cybersécurité demande une cadence élevée, surtout face aux menaces rapides.
    • 🔍 Ne pas actualiser le périmètre : un périmètre obsolète fausse les résultats et compromet la protection.
    • 📊 Manque de visualisation des risques : sans tableaux de bord clairs, la prise de décision est ralentie.

    Les experts de société comme TEHTRIS ou Orange Cyberdefense insistent régulièrement sur l’importance de la formation continue et sur les bons réflexes à adopter pour que la CTEM reste un outil vivant et performant.

    Erreur 🔴 Impact potentiel ⚠️ Comment éviter ✅
    Manque d’implication des équipes Difficulté à coordonner et à réagir rapidement Organiser des workshops réguliers et sensibiliser tous les acteurs
    Approche technocentrée uniquement Vulnérabilités humaines non détectées, lacunes de processus Inclure des audits humains et formations ciblées
    Cycle d’analyse trop long Fenêtres d’exposition prolongées, risque accru Mise en place d’alertes automatisées et analyses en continu

    Comment intégrer la CTEM dans une stratégie globale de cybersécurité ?

    Intégrer la CTEM dans la politique de sécurité globale d’une organisation demande une vision claire et un engagement multi-dimensionnel :

    • 📌 Alignement avec les objectifs business pour garantir que la cybersécurité soutient la croissance.
    • ⚙️ Intégration avec les outils existants comme SIEM, EDR, ou plateformes SOAR.
    • 🤝 Collaboration avec des spécialistes reconnus tels que Sopra Steria, TEHTRIS ou Orange Cyberdefense pour la mise en œuvre.
    • 🎓 Formation continue des équipes pour maintenir un haut niveau de vigilance.
    • ♻️ Mise en place d’un cycle d’amélioration continue, s’appuyant sur les feedbacks.

    Cet équilibre permet d’assurer que la CTEM ne soit pas un simple exercice technique, mais un levier stratégique qui enveloppe tous les niveaux décisionnels, opérationnels et humains.

    • Pour comprendre davantage les enjeux autour de la protection des données, consultez notre article sur les risques d’exfiltration de données.
    • Les différents profils de cybermenaces évoluent : découvrez les transformations récentes sur Geekorama à travers le sujet que devient DiablOx9 depuis son retrait de YouTube.
    • Pour une perspective ludique sur le temps et la patience nécessaires dans la tech, replongez dans l’univers du film de 857 heures.

    FAQ sur la gestion continue de l’exposition aux menaces (CTEM)

    • La CTEM remplace-t-elle le pentesting traditionnel ?
      Non, la CTEM complète le pentesting en ajoutant une dimension continue et dynamique, adaptée aux environnements qui évoluent rapidement.
    • Quels secteurs profitent le plus de la CTEM ?
      Les industries critiques, la finance, la santé, et les infrastructures sensibles tirent particulièrement parti de la gestion continue du risque.
    • Combien de temps dure un cycle complet de CTEM ?
      La durée dépend de la complexité du périmètre, mais l’idée est précisément de maintenir une boucle permanente, donc des cycles très courts et itératifs.
    • La CTEM nécessite-t-elle des outils spécifiques ?
      Oui, elle s’appuie sur des plateformes intégrées, souvent AI-driven, avec des capacités avancées d’automatisation et d’analyse comportementale.
    • Comment assurer l’adhésion des équipes à la CTEM ?
      La clé réside dans la communication transversale, la formation continue et l’implication décisionnelle de toutes les parties prenantes.

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    Nadine Sony

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