Qui aurait cru que le nom « Fitzgibbon » deviendrait l’un des running gags les plus énigmatiques et savoureux de tout l’univers James Gunn ? Pour les spectateurs de Peacemaker sur HBO Max, c’est désormais un petit plaisir coupable de traquer chaque itération d’un Fitzgibbon, qu’il soit victime de l’invasion Butterfly, chercheur fou ou nostalgique de guerre – un vrai clin d’œil pour les fans de DC Comics et d’humour méta à la sauce Gunn ! On démêle pour vous cette toile multiverselle, pleine de piques, d’amitié d’enfance, et de cascades (parfois sanglantes) signées Warner Bros. Plongez derrière le masque : pourquoi, diable, James Gunn s’acharne-t-il sur ce patronyme ?
Table des matières
Peacemaker et l’éternel retour de Fitzgibbon : mystère dans le DCU
Dans la saison 2 de Peacemaker, le détective Larry Fitzgibbon, incarné par Lochlyn Munro, ressurgit alors qu’il avait été assassiné par un Butterfly dans la première saison. 🤨 Une incohérence ? Que nenni ! Ce retour n’est que le fruit des jeux de miroirs entre Terres parallèles : sur la fameuse Terre-X, Fitzgibbon débarque chez les Smith comme si de rien n’était, portant le multivers DC Comics au sommet de la pirouette scénaristique.
- 🕵️ Larry Fitzgibbon trépassé sur Terre-1, ressuscité sur Terre-X
- 🌌 L’intrigue s’amuse des multivers, rendant tout twist possible
- 📺 Chaque apparition de Fitzgibbon challenge les fans à suivre les clins d’œil
- 🎮 Inspiration forte du gaming : passage de niveaux, respawn et variantes
Un peu comme un adversaire récurrent dans un jeu vidéo à la Final Fantasy, chaque Fitzgibbon s’adapte aux règles de sa dimension… pour finir immanquablement dans une situation mortelle, signature Gunn ! La section suivante va révéler que la blague s’étend bien au-delà du seul DCU.
Le nom Fitzgibbon : de DC Comics à Marvel, évasion cross-media
Si vous pensiez que ce pseudonyme farfelu s’arrêtait à la franchise Peacemaker, détrompez-vous. Fitzgibbon a la vie dure ! On le retrouve dans The Suicide Squad avec le caméo du légendaire John Ostrander, et même dans l’univers Marvel : Dr. Fitzgibbon soigne Meredith Quill dans Les Gardiens de la Galaxie. Sans oublier d’autres incursions dans “Super” – la comédie satirique de Gunn – et “Slither”, où le pauvre Fitzgibbon n’est jamais à l’abri des créatures extraterrestres façon Butterfly Project… Ça commence à faire beaucoup, non ?
- 🤓 The Suicide Squad : Ostrander joue le scientifique Fitzgibbon
- 🚀 Marvel touch : le Dr. Fitzgibbon soigne la mère de Star-Lord
- 👮 Cinérie déjantée (Super, Slither) : Fitzgibbon finit (presque) toujours mal
- 📻 “Creature Commandos” (2025) : Fitzgibbon collectionne les souvenirs de guerre… et les tuiles
Pourquoi cet acharnement sur les Fitzgibbon ? Là encore, la réponse n’est pas qu’un running gag, et fait bloc : Gunn a ses raisons très personnelles, comme on va le découvrir juste après ce détour par le folklore Fitzgibbon.
James Gunn, l’amitié d’enfance derrière une référence multiverselle
Derrière la répétition presque sadique du nom Fitzgibbon dans les productions Warner Bros. et en dehors, se cache en réalité un hommage profondément geek et sincère. En 2016, Gunn déclarait sur Instagram que son plus vieil ami s’appelait Larry Fitzgibbon : voisins dans le Missouri, complices de nombreuses (més)aventures, ils partirent ensemble conquérir la Californie. C’est donc un geste de tendresse transformé en running gag sanglant, clin d’œil bienveillant à un passé joyeusement chaotique.
- 💡 James Gunn n’extermine pas son pote Fitzgibbon par rancœur, mais par affection geekissime
- 🌄 L’amitié Missouri-Californie, source du running gag
- 🦸 Chaque Fitzgibbon, un écho à ce lien éternel, tissé dans la pop culture
On comprend mieux pourquoi Gunn se plaît à transformer le nom Fitzgibbon en géocache pour fans ultra-connectés ! Il ne s’agit pas d’un détail jeté au hasard, mais d’une marque d’auteur culte dans le paysage DC, à la croisée du Butterfly Project, d’Argus et des délires de Amanda Waller… Un secret de famille Geek en quelque sorte !
Comment le running gag Fitzgibbon enrichit la pop culture geek
L’omniprésence – et les humiliantes fins – de Fitzgibbon ne sont pas anodines : elles créent un fil rouge à travers l’œuvre de James Gunn, de DC Comics à Marvel en passant par Warner Bros.. Au-delà de l’anecdote, cette astuce narrative fait vibrer le radar des fans, rendant chaque visionnage plus interactif, comme dans une chasse aux œufs de Pâques surdécoupée façon “Ready Player One”.
- 🔍 Easter egg majeur dans Peacemaker, The Suicide Squad, Creature Commandos
- 🎲 Approche gaming : collection, quêtes secondaires pour fans aguerris
- 🪡 Syncrétisme pop : même clin d’œil chez DC Comics et Marvel
- 👾 Encouragement à revoir les épisodes, analyses de générique, débats Reddit épiques
Dernière pirouette : avec toutes ces bizarreries multiverselles sur HBO Max et l’omniprésence de Vigilante, on se demande combien de Fitzgibbon pourraient encore débarquer dans le nouveau DCU… et surtout, combien résisteront à la plume cruelle (et pleine d’amour) de James Gunn ?
Questions fréquentes sur Fitzgibbon et l’univers James Gunn
- 🤔 Pourquoi James Gunn glisse-t-il ce nom dans toutes ses œuvres ?
Le nom Fitzgibbon est un hommage affectueux à un ami d’enfance de Gunn. Il symbolise leur complicité de toujours, recyclée en clin d’œil geek. - 🦸 Ce running gag changera-t-il dans la suite du DCU ?
Avec l’expansion du multivers et des crossovers, tout est possible ! Les fans s’attendent déjà à de nouvelles itérations, notamment dans Argus ou via Amanda Waller. - 🌌 Fitzgibbon est-il un personnage clé dans Peacemaker ?
Pas vraiment central, mais sa présence récurrente amuse les fans, enrichit le lore, et offre des Easter eggs stylés à chaque apparition. - 🎥 Peut-on s’attendre à du Fitzgibbon dans les prochaines séries Warner Bros./DC Comics ?
Rien d’officiel, mais la tradition Gunn laisse à penser qu’on n’a pas fini d’en parler sur HBO Max ! - 😅 Les caméos de Fitzgibbon sont-ils toujours violents ou mortels ?
C’est l’un des running gags de Gunn : presque chaque apparition finit tragiquement, pour le plus grand amusement des spectateurs.
Découvrez pourquoi le nom Fitzgibbon hante l’univers James Gunn, de Peacemaker à The Suicide Squad, et comment ce running gag façonne la culture geek DC Comics en 2025.
