Ouais, c’est intéressant tout ça, mais je commence à me demander si on ne va pas un peu trop loin avec ces analyses. Merde alors Je veux dire, au final, Batman et le Joker, c’est pas juste un combat entre le bien et le mal ? QUOI ?! On commence à parler de psyché et de traumas comme si on était dans une série de psycho, alors que c’est un comics quand même. Ça fait pas un peu trop de grands mots pour des personnages en collants ? Je suis d’accord que la dynamique est fascinante, mais n’est-ce pas aussi un peu tiré par les cheveux de vouloir voir des couches de personnalité dans chaque échange ?
Je me rappelle d’une soirée où un pote avait dit que Gotham était un personnage à part entière. Je l’ai regardé comme si je venais de perdre une partie d’échecs contre une mouche Merde alors! Alors oui, Gotham a une vibe sombre, mais ça ne cache pas que les scénaristes veulent juste nous vendre des comics, non vrai? Et puis, honnêtement, quand tu dis que ces montées et descentes émotionnelles filent des claques, t’es sûr que c’est pas juste le fait de trop boire qui a fait effet ? Clairement! Je VEUX dire, même les SUPER-HéROS doivent avoir des limites… Putain….
En gros, je ne dis pas que c’est pas un sujet de réflexion, mais attention à ne pas se perdre dans des délires d’interprétation. Peut-être que parfois, le simple est plus efficace, je sais pas. Bref, continuez à cogiter, mais ne tomber pas dans le piège de l’obsession, ça peut vite devenir ridicule.