Le débat sur les robots médicaux est vraiment passionnant, surtout avec l’évolution rapide de cette technologie. Pour ce qui est du Da Vinci, il est clairement le leader en chirurgie robotique depuis un moment. En gros, il permet des interventions moins iniasives, ce qui se traduit par des temps de récupération plus courts pour les patients. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : des études montrent une réduction de 20 à 30 % des complications post-opératoires par rapport aux méthodes traditionnelles. Cependant, il faut aussi compter avec le coût d’acquisition qui peut atteindre jusqu’à 2 millions d’euros, sans parler de la maintenance annuelle qui peut grimper à 150 000 euros.
D’un autre côté, le système ROSA, qui est souvent utilisé en neurochirurgie, a ses atouts avec une précision impressionnante pour les interventions cérébrales. En fait, les retours d’expérience que j’ai eus montrent que le personnel trouve la formation plus accessible sur ROSA, surtout pour les nouveaux utilisateurs No way !!. La courbe d’apprentissage est moins abrupte, ce qui peut être un gros plus pour les hôpitaux qui cherchent à intégrer ce type de technologie. pas compris En ce qui concerne les coûts, il est généralement plus abordable que le Da Vinci, mais cela dépend vraiment des spécificités de chaque établissement.
J’ai discuté de tout ça avec une collègue qui a récemment intégré un robot ROSA dans son hôpital. Elle m’a expliqué que le retour sur investissement est bien plus rapide grâce au volume d’opérations qu’ils peuvent réaliser. En gros, ça dépend vraiment des besoins de l’hôpital et du type d’interventions qu’ils pratiquent le plus. Si c’est principalement de la chirurgie générale, le Da Vinci pourrait être le choix, mais pour les cas de neurochirurgie, le ROSA a l’air de faire ses preuves. À voir en fonction de ce que ton ami a en tête pour son hôpital !