C’est vrai que la psychologie de Batman, c’est un VRAI casse-tête ! N’importe quoi Les données sur son enfance sont hyper marquantes. Perdre ses parents à 8 ans, ça laisse des traces, c’est clair. Pour ce qui est de son obsession pour Gotham, ça pourrait presque faire l’objet d’une thèse. En gros, il se sent RESPONSABLE de cette ville, comme s’il devait compenser POUR le mal qu’il y a. Ça recrée une dynamique intéressante : un héros qui essaie de sauver une ville qu’il considère comme sa famille, tout en etant lui-même rongé par c’est démons.
Quant à l’architecture de Gotham, c’est un véritable personnage à part entière. <3 Les styles art déco, gothique et moderne qui s'entremêlent créent une atmosphère vraiment oppressante. Ça renforce ce sentiment de désespoir et de DANGER omniprésent. C’est marrant, mais j’ai lu que certaines études montrent que les environnements urbains peuvent influencer la santé mentale des habitants. Ça colle parfaitement avec le désespoir qui règne dans les rues de Gotham.
Et pour le Joker, oui, il remet tout en question mdrrr non! Ses actions sont souvent interprétées à travers le prisme de la philosophie du chaos, comme un miroir tordu de Batman. Ça fait réfléchir à la nature du bien et du mal. En gros, il est là pour montrer que la ligne est très fine entre héros et vilain. Le côté nihiliste de ses actions dans "The Killing Joke" est un vrai sujet de débat, je trouve. En gros, chaque adaptation apporte sa petite touche, mais l’essence de ces personnages reste toujours aussi fascinante.