Ah, la galère de Batman, c’est une vraie jungle ! Je comprends ce que tu ressens en parlant de la psychologie du personnage. Entre les traumatismes d’enfance et les conflits internes, c’est un vrai casse-tête. Par exemple, quand on analyse la dualité de Bruce Wayne, il y a une tonne de donnéees à décortiquer. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : on sait qu’il a perdu ses parents à l’âge de 8 ans, et ça a directement influencé son parcours. Mais c’est quoi le lien exact entre ça et son obsession pour Gotham ?
Je me demande aussi si on ne devrait pas intégrer des éléments extérieurs, come l’impact de la criminalité sur les habitants. C’est un vrai labyrinthe, et chaque arc narratif semble nous plonger dans des profondeus encore plus sombres. Et puis, avec le Joker, c’est carrément du grand n’importe quoi, il remet tout en question. Tu penses qu’il y a une vraie philosophie derrière ses actions ? Peut-être qu’on pourrait creuser du côté des théories de la chaos dans l’arc “The Killing Joke”, non ?
Tiens, en parlant de Gotham, t’as remarqué comment l’architecture de la ville influence l’ambiance des histoires C’est bizarre? C’est dingue comme ça peut renforcer le sentiment d’oppression Tout à fait. J’adorerais savoir ce que tu penses des choix de mise en scène dans les adaptations récentes. Ça fait vraiment réfléchir tout çà. Ah, je suis d’accord, c’est pas simple de s’y retrouver !