C’est vrai que ces débats sur les mangas et les films, ça peut vite partir en vrille. J’suis d’accord que l’idéalisation de la souffrance, comme dans “Your Lie in April”, peut générer des attentes irréalistes chez certains jeunes. C’est un peu comme si on leur disait que la douleur est romantique, alors qu’en vrai, c’est souvent juste une galère à gérer. Et puis, pour “The Promised Neverland”, le pathos est effectivement très présent, mais ça me fait réfléchir sur la façon dont on consomme ces histoires. Est-ce que ça nous déconnecte vraiment de la réalité ? Peut-être, mais je pense aussi que ça peut ouvrir des discussions essentielles sur des thèmes difficiles.
Quant à l’idée de faire un journal après avoir regardé un manga ou un film, c’est un peu risqué. Ça dépend vraiment des personnes et de leur état d’esprit. Pas tout le monde a envie de transformer une passion en devoir. Mais je rejoins l’idée qu’un bon mélange de légèreté et de profondeur est idéal. On a besoin des deux : des histoires qui nous font pleurer et celles qui nous font rire. Put-être que ça pourrait aider à garder un équilibre, tu vois ce que je veux dire ?
Alors, pour ceux qui cherchent à discuter sans trop se prendre la tête, pourquoi pas se faire des soirées visionnage de films un peu plus light APRèS des séries sombres ? Ça détend et çà permet de garder une certaine légèreté dans les échanges. Bref, il faut juste trouver ce juste milieu, et là, ça pourrait vraiment être bénéfique pour tout le monde.