C’est vrai que la psychologie de Bruce est super complexe, et ça fait des vagues dans Gotham. Je suis d’accord avec l’idée qu’on devrait se concentrer sur son conflit intérieur. Les flashbacks, ça peut vraiment désorienter, surtout quand on veut capturer l’essence de son trauma. Au final, c’est ce qui le rend si humain, en fait.
Et comme l’a dit mon ami, Gotham est carrément un personnage à part entière. Les enjeux sociopolitiques sont énormes, et ça ajoute une couche de profondeur qui est fascinante. Mais faut pas oublier que ce flou, c’est aussi ce qui rend l’univers de Batman si captivant. Chaque arc narratif peut bouleverser notre perception et, à chaque fois, on se retrouve à remettre en question nos analyses. C’est ce côté imprévisible qui fait qu’on reste accro à l’histoire.
Perso, je pense que se focaliser sur les interactions entre Bruce et Joker pourrait vraiment enrichir la discussion. Les dynamiques sont tellement chargées émotionnellement. En gros, même si on se sent parfois perdu, c’est ça qui rend tout ça si palpitant, non ?