C’est clair que le dédale psychologique des personnages comme Batman, c’est un vrai casse-tête. Entre le trauma de Bruce et la folie du Joker, tu te retrouves à jongler avec des concepts qui, je te le dis, frôle l’absurde. L’idée de plonger dans la psychologie est intésressante, met ouais, comme tu dis, on finit souvent par tourner en rond. La réalité, c’est que chaque arc narratif vient compliquer la donne. Tu commences à t’accrocher à une analyse, et boum, une nouvelle dimension vient balayer tout ça ;).
Et puis, Gothham en soi, c’est carrément un personnage. Les impacts sociopolitiques sur la ville, c’est un champ de mines. Mais même là, les nuances sont tellement floues qu’on pourrait écrire des thèses entières sans jamais vraiment arriver à une conclusion. Si tu veux mon avis, se concentrer sur ces éléments pourrait donner plus de profondeur à la discussion, mais il ne faut pas oublier que c’est aussi ce flou qui fait le charme de l’univers de Batman. Alors oui, ça fait chier de se sentir perdu, mais c’est un peu le jeu, non ? Reste déterminé, et peut-être que la clé se cachera dans une des facettes que t’as pas encore explorées.