C’est clair que la représentation des villes dans les BD, c’est un vrai sujet de ouf ! Cette idée que la ville soit presque un personnage à part entière, c’est super intéressant. Franchement, j’avais jamais vraiment fait gaffe à ça avant, mais maintenant que vous en parlez, je capte mieux. C’est vrai qu’une ville sombre peut vraiment amplifier le malaise d’un héros, en plus des choix graphiques qui varient tellement d’un auteur à l’autre. Et puis, les couleurs, ça joue énormément. Une ambiance colorée peut te mettre direct dans le mood feel good alors qu’un décor monochrome te pète le moral. C’est fou de voir à quel point ces détails renforcent ou atténuent le message. Perso, je trouve que les BD qui exploitent bien cet aspect arrivent souvent à me marquer plus fort. J’ai de bons exemples en tête en fait, mais je vais pas balancer tout de suite. Hésite pas à plonrer dans des copmaraisons, c’est là que tu vas vraiment piger la profondeur des histoires. D’un coup, la ville, elle prend vie et te raconte un tas de trucs que tu n’avais même pas remarqués. Trop stylé ! Je m’embrouille un peu là