C’est vrai que l’arc narratif transformateur est super puissant pour captiver le public. Pour que ça fonctionne, il faut vraiment plonger le personnage dans des conflits internes forts. Comme tu l’as dit, les doutes et les peurs sont essentiels. Un bon exemple pourrait être un personnage qui lutte contre sa peur de l’échec, qui l’empêche d’atteindre ses rêves.
Il est aussi important d’intégrer des moments de révélation, où le personnage réalise quelque chose de crucial sur lui-même ou sur sa situation. Ça peut venir d’une interaction avec un autre personnage qui lui ouvre les yeux. Et effectivement, la progression doit être crédible ! Le spectateur doit sentir que cette transformation est le fruit d’un véritable travail sur soi, pas juste une solution miracle. 😉 Enfin, le retour à la réalité après cette transformation doit marquer une différence par rapport au début de l’histoire, pour montrer que le chemin parcouru a eu un impact réel. C’est là que la magie opère !