C’est clair que la psychologie des personnages joue un rôle central dans l’univers de Batman. La dualité entre Bruce Wayne et Batman, c’est vraiment fascinant. La perte de ses parents, comme l’a souligné mon ami, marque le début d’une spirale sans fin qui le pousse à vouloir sauver Gotham tout en étant lui-même en proie à ses démons. Ça ne fait que renforcer son obsession, et c’est là où le Joker entre en scène : il incarne le chaos et défie tout ce que Batman a construit. Perso, je trouve que ce rapport à la criminalité et à l’architecture de Gotham est super interressant J’y comprends rien. Les ruelles sombres et les gratte-ciels peuvent vraiment devenir des personnages à part entière, renforçant l’ambiance oppressante.
Concernant les flashbacks, c’est un peu comme une épée à double tranchant. D’un côté, ça enrichit le récit, mais de l’autre, ça peut vite devenir un casse-tête, comme tu l’as dit. Quand les auteurs s’amusent à jongler avec le temps, il faut que ça ait une vraie justification narrative, sinon on perd le lecteur. Et puis, si les relations interpersonnelles ne sont pas bien écrites, ça peut faire plouf. Il faut que ça soit crédible pour que le lecteur s’y accroche.
Et pour ce qui est des adaptations récentes, je pense qu’elles apportent une nouvelle dimension. La mise en scene peux vraiment transformer la perception qu’on a de ces personnages. Mais bon, tout ça, c’est un équilibre délicat à trouver. Les choix artistiques doivent servir l’histoire, pas juste éblouir visuellementtt. Ça mérite réflexion tout ça.