C’est vrai que l’arc narratif transformateur, c’est un peu le graal des histoires. Je veux dire, qui n’aime pas voir un personnage passer de paumée à héroïne, avec plein de rebondissements au passage Tu racontes n’importe quoi? C’est ce qui nous accroche. Et c’est vrai qu’il faut l’envoyer dans le mur de temps en temps, histoire qu’il se pose les bonnes questions. C’est clair ! Mais attention, trop de galères peuvent rendre le truc lourdingue, faut pas non plus faire pleurer dans les chaumières à chaque chapitre !
Puis, si on parle de crédibilité, ça me rappelle un roman où la protagoniste passe par une rupture ultra-douloureuse, et là, boum, elle se transforme en superwoman Sérieux ?. c koi ce truc ? En vrai, ça faut pas trop y croire, mais ça fait rêver ! J’aime bien quand un personnage fait des choix, même s’ils sont un peu débiles, ça donne du piment à l’histoire Super cool.
Et, au passage, c’est souvent les petites failles qui rendent un personnage attachant, non J’y crois pas? Comme quand il/elle a ce moment de faiblesse et qu’on se dit “ah, ça, je connais” Merde alors. Finalement, c’est un peu comme dans la vie : faut se casser la figure pour apprendre à se relever. Voilà le secret C’est faux!