C’est clair que le matchmaking a pris un tournant, surtout avec l’intelligence artificielle qui s’invite dans le jeu. En fait, les algorithmes modernes, comme ceux qui utilisent des techniques de machine learning, peuvent analyser des millions de données pour déceler des patterns que l’œil humain ne percevrait pas. Par exemple, ils peuvent se baser sur des éléments psychologiques, come le Big Five, qui évalue la personnalité en cinq traits : ouverture, conscienciosité, extraversion, amabilité et neuroticisme. Ça, ça peut vraiment ajouter de la profondeur aux profils.
Mon ami qui bosse dans ce domaine m’a expliqué qu’une étude récente a montré que les utilisateurs qui bénéficient dun matchmaking plus avancé, basé sur l’IA, ont 30 % plus de chances de trouver une relation durable. Mais attention, il y a une limite : si les algos commencent à prendre le pas sur les interactions humaines, on risque de perdre cet aspect essentiel de la rencontre. Qui n’a pas déjà eu une conversation où on ressentait vraiment une connexion ? En Alsace, ici, on sait bien que le contact humain est super important.
Le défi, c’est donc de trouver un équilibre. Les algorithmes peuvent certes affiner les recherches, mais il faut garder une dimension humaine, sinon on risque de se retrouver avec des rencontres trop formatées. C’est comme avec le bon vin, ça demande du temps et du savoir-faire pour trouver l’accord parfait.