Dans l’univers déjanté de James Gunn, chaque détail compte et rien n’est vraiment laissé au hasard. Mais derrière l’humour noir et les explosions dignes de DC Comics se cache une énigme qui intrigue tous les fans : l’obsession (quasi) systématique de Gunn pour le nom Fitzgibbon. Depuis les premières saisons de la Peacemaker Série sur HBO Max – jusqu’aux séries animées et films cultes comme The Suicide Squad ou même Marvel, ce patronyme ricoche d’univers en univers, tantôt sous la forme de détective ressuscité, tantôt en scientifique explosé par une expérience Task Force X. Hasard multiversel, private joke entre potes ou fil rouge geek ultime ? Retour sur la traque du mystère Fitzgibbon, là où chaque mort spectaculaire cache un hommage d’amitié et un clin d’œil appuyé à la pop-culture. 🦅
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Le retour (inattendu) de Fitzgibbon dans Peacemaker Saison 2 sur HBO Max
Les aficionados de la Peacemaker Série n’ont pas manqué de recracher leur popcorn devant la réapparition de Detective Larry Fitzgibbon, incarné par Lochlyn Munro, lors d’un nouvel épisode fracassant sur HBO Max. Petit souci : le personnage avait succombé à une attaque de Butterfly en saison 1… et paf, le voilà qui débarque à nouveau au pas de la porte du clan Smith ! Simple erreur de timeline ou multivers survolté ? Ici, joué avec le flair de Gunn, c’est la version Earth-X qui débarque, pendant que l’Earth-1 a déjà servi son quota de funeste destinée.
- ✨ Univers Alternatif : Le retour du détective pose la question de la moralité… et de la continuité dans le chaos DC Comics.
- 🎲 Prédilection pour les morts bizarres : Presque chaque « Fitzgibbon » trouve une fin tragique, clin d’œil assumé aux codes du genre et au fandom friand de rebondissements.
- 🦅 Eagly, la fidèle mascotte, n’est jamais bien loin lorsqu’il s’agit de scènes loufoques autour du schéma « Fitzgibbon ».

Le jeu des univers parallèles – à la sauce Task Force X et Argus – offre à Gunn un terrain de jeu illimité pour faire revivre, muter (ou trucider) ce personnage à l’infini, tout en titillant la curiosité geek sur la cohérence canonique Warner Bros..
Le nom Fitzgibbon, running gag geek et hommage personnel chez Gunn
Pourquoi cette obsession pour le nom Fitzgibbon ? Si beaucoup pensaient à une simple blague récurrente, la réalité est bien plus touchante. James Gunn lui-même l’a révélé : Larry Fitzgibbon est le nom de son plus vieil ami d’enfance, avec qui il partage une histoire digne d’un buddy movie des années 80. À chaque fois qu’un personnage du nom « Fitzgibbon » surgit pour un caméo (souvent fort en hémoglobine), c’est donc une ode cryptée à leur bromance, cachée entre deux gags potaches et batailles de super-vilains.
- 👾 Détection immédiate des fans : Les spectateurs aguerris repèrent toujours le fameux patronyme dans chaque projet Gunn, de The Suicide Squad à Guardians of the Galaxy.
- 🙌 Cameo multiversel : Un Dr. Fitzgibbon dans Marvel, un policier chez DC Comics, et même un revendeur de memorabilia chez Creature Commandos.
- 🧢 Références culturelles : Le clin d’œil s’inscrit pile dans l’art subtil du meme, du running gag geek et du « qui mourra en premier ? ».
Derrière l’humour noir de la série, impossible de passer à côté de ce détail : chaque Fitzgibbon finit presque toujours… éliminé dans un grand spectacle gore, comme une signature piquante façon Gunn.
Fitzgibbon dans The Suicide Squad, Marvel et au-delà : le fil rouge des univers connectés
Si l’on pensait que seuls les DC-fans étaient touchés par la malédiction Fitzgibbon, détrompez-vous ! L’univers étendu de James Gunn est tissé de références croisées et de clins d’œil inter-studios. Par exemple, dans The Suicide Squad, c’est John Ostrander – papa de la Task Force X dans les comics – qui incarne un scientifique du nom de Fitzgibbon. Même topo dans la Marvel-verse, où un Dr. Fitzgibbon soigne Meredith Quill dans Guardians of the Galaxy. Plus encore : la comédie Super et le film d’horreur Slither ne sont pas en reste.
- 🌌 Même nom, nouveaux visages : Les variantes « Fitzgibbon » traversent les époques et les univers, incarnées par des acteurs différents mais toujours promises à un sort funeste.
- 🦠 Du Butterfly Project aux robots tueurs : D’un « butterfly » qui infecte le détective dans Peacemaker, à un GI Robot qui exécute son Fitzgibbon chez Creature Commandos, difficile de survivre plus d’un acte quand on porte ce nom.
- 🖥️ DC Comics / Warner Bros. / HBO Max : Ce motif récurrent agit comme une balise geek, un « easter egg » surveillé par les fans à chaque nouvelle sortie.
À chaque apparition du nom, la communauté s’interroge : le Fitzgibbon du jour est-il un simple gag ou une pièce clé du multivers ? La réponse importe peu : le plaisir, lui, est toujours maximal quand on le croise.
Ce que révèle la saga Fitzgibbon sur la culture geek moderne
Au fond, l’énigme Fitzgibbon est bien plus qu’une blague récurrente. C’est la preuve que les univers partagés, les crossovers, les séries à la HBO Max ou la filmographie Warner Bros. nourrissent aujourd’hui une grammaire secrète entre créateurs et passionnés. Cet exemple incarne à la perfection la façon dont la pop-culture se construit sur l’accumulation de références, d’inventivité et d’amitiés authentiques.
- ♾️ Multivers illimité : Peacemaker, Task Force X, Argus… chaque univers fournit un terrain de jeu sans limite pour les clins d’œil et les twists narratifs.
- 🎬 Culture du caméo : Le public jubile dès qu’il reconnaît une astuce d’initié ou un personnage secondaire trop vite disparu.
- 🕹️ Communauté geek soudée : Repérer un « Fitzgibbon » devient presque un défi lors de chaque épisode, à la manière des trophées cachés dans les grands jeux vidéo.
Ainsi, entre auto-dérision, hommage personnel et méta-humour, Gunn a transformé ce détail en véritable légende geek, fédérant les spectateurs dans une chasse aux œufs façon Pac-Man 2.0 !
Questions / Réponses clés autour du mystère Fitzgibbon
- 🕵️♂️ Pourquoi James Gunn introduit-il systématiquement un personnage « Fitzgibbon » dans ses œuvres ?
C’est un hommage à son plus vieil ami, Larry Fitzgibbon, souvent transformé en running gag mémorable (et explosif) dans chaque nouvelle histoire. - 🌐 Le retour du détective Fitzgibbon est-il un bug scénaristique ou un clin d’œil au multivers DC Comics ?
Il s’agit d’un jeu sur les univers parallèles, autorisé par l’univers DC Comics et totalement assumé par Gunn. - 💥 Trouve-t-on d’autres références à Fitzgibbon dans la culture populaire en dehors des séries Gunn ?
Non, le motif Fitzgibbon est une signature propre à la Gunn-verse, bien connue des fans de DC, Marvel, HBO Max et Warner Bros.. - 🥚 Y a-t-il une logique derrière la mort rapide des personnages Fitzgibbon dans chaque histoire ?
Oui, c’est devenu une blague méta sur la fatalité du nom, toujours synonyme de sort funeste et de retournement de situation majeur. - ✨ Peut-on s’attendre à de futurs Fitzgibbon dans les projets DC Comics à venir ?
Avec la fièvre du multivers et la fidélité de Gunn pour ses motifs cultes, tout indique que d’autres Fitzgibbon pointeront bientôt le bout de leur nez… souvent pour ne pas survivre longtemps !
Pourquoi le nom Fitzgibbon revient sans cesse dans l’univers Peacemaker de James Gunn ? Décortiquez ce running gag geek et son impact sur la saga DC Comics et HBO Max. 🔥